Quand nous avons jeté ici même un cri d’alarme à propos d’une cession possible à nos alliés de nos possessions de Saint-Pierre et Miquelon, ou nous a accusé volontiers de nous battre contre des moulins à vent. Le danger n’existait que dans notre imagination : plusieurs hommes politiques et non des moindres avaient affirmé que tant qu’ils seraient au pouvoir « Saint-Pierre resterait Français », le monde de la pêche maritime n’avait donc aucune raison de s’émouvoir. Le malheur est que chez nous le Gouvernement ne brille pas précisément pas sa stabilité et qu’un engagement individuel est bien peu de chose en matière de politique générale. Lire la suite … [pdf]
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